Pourquoi la #sodomie fait-elle fantasmer les hommes ?
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21102014
Pourquoi la #sodomie fait-elle fantasmer les hommes ?
Cela peut paraître une idée reçue, il n’en est rien. Les chiffres mettent en évidence une réelle réticence des femmes au sujet de la sodomie. Une pratique qui, en revanche, suscite chez les hommes bien des émois, des fantasmes et du plaisir. Décodage d’un engouement masculin, encore rarement partagé.
Ce sont eux qui majoritairement la demandent ! Les femmes sont de plus en plus nombreuses à accéder à leur désir, s’y soumettant, y trouvant aussi du plaisir. Selon une enquête américaine1, elles étaient, en 1992, toutes tranches d’âge confondues, 33 % à avoir déjà pratiqué le sexe anal. En 2002, 35 % et en 2014, 46 %. Alors la question se pose : qu’est-ce qui suscite autant d’ardeur de la part des mâles, à pratiquer la sexualité anale ? Nous avons tenté d’y répondre.
Sodomie : le frisson du tabou
Vantée par la nouvelle littérature X destinée aux femmes, et banalisée par l’accès aux films porno via Internet, la sodomie semble être devenue incontournable. Pourtant, aujourd’hui encore elle s’entoure toujours de tabou, et "probablement que ce parfum d’interdit joue un rôle dans cette fascination qu’elle exerce sur les hommes", affirme le Dr Sylvain Mimoun, gynécologue, andrologue. D’où vient cette aura sulfureuse qui malgré tout persiste ? "C’est simple, la sodomie va à l’encontre de la procréation" répond notre expert. Du point de vue de l’inconscient collectif, elle reste une pratique, connotée "contre nature".
L’histoire de la sodomie en témoigne. Jusqu’au milieu du XXème siècle, elle est illégale dans la quasi-totalité des nations. "Encore aujourd’hui, certains états des Etats-Unis ont des lois la prohibant" ajoute le Dr Sylvain Mimoun. Tandis qu’en Inde, elle est réprimée. Dans les pays arabes, cette pratique coïncide avec l’exigence d’arriver vierge au mariage (pour en savoir plus sur ces particularités légales, découvrez notre diaporama sur les lois sexuelles plus insolites). Le sexe anal, à notre époque du porno chic, quoi qu’on en dise, occupe toujours une place de choix dans les pratiques transgressives.
Le sexe anal excite le fantasme masculin de la soumission
Deux ressorts peuvent sous tendre l’excitation que suscite cette pratique anale chez les hommes. La position tout d’abord qui évoque immanquablement la soumission de la femme, à cet homme qui la sodomise, par derrière, lui laissant la voie libre d’assumer ce désir, inhabituel. Dans une enquête conduite en 20072, les hommes confient être stimulés par la résistance féminine.
Or, si la sodomie emballe la machine à fantasmes masculine, il n’en va pas de même pour les femmes. Les chiffres sont éloquents. Parmi les 8,7 % qui reconnaissent la pratiquer 52,9 % affirment "ne pas apprécier". "Une position, qui d’autre part, place inévitablement l’homme dans le rôle du pénétrant" décode le Dr Sylvain Mimoun.
A la soumission de la femme s’ajoute le fantasme de toute puissance de celui-ci, à "forcer" ce passage plus étroit. En effet, cette pratique ne souffre aucune mollesse, et l’homme ne pourra s’y prêter qu’avec une "belle érection". Sinon impossible de s’y introduire. Cet acte lui permet alors de faire une démonstration de sa virilité. D’autant plus qu’il peut susciter chez lui, une certaine "brusquerie".
Orgasme anal : un plaisir plus intense ?
La sodomie s’entoure immanquablement d’une promesse d’orgasme inédit pour les hommes. Mais qu’en est-il vraiment ? "Sur le plan physique, les hommes confient éprouver un plaisir plutôt intense dû au fait de l’étroitesse du passage" rapporte le Dr Sylvain Mimoun. Dans le secret du cabinet, nombreux sont ceux qui avouent ne pas ressentir de pression suffisante autour de leur pénis pour obtenir un orgasme. Opter alors pour le sexe anal procure alors bien des avantages.
Par ailleurs, ces derniers peuvent être également stimulés par le plaisir que ressent leur partenaire, au-delà de ses réticences bien sûr. En effet, même s’il n’est pas courant de l’avouer, cette pratique peut procurer également aux femmes, une puissante jouissance. Une fois levées toutes les réticences qui y sont associées, bien sûr. Explications : toute la zone anale externe et interne, est fortement vascularisée et innervée. Ses terminaisons nerveuses "internes" captent de manière particulièrement sensible les sensations de pression et de distension… tandis que celles externes captent les frottements, et les changements de température. Ce qui signifie que l’anus est physiologiquement "très" apte à procurer un orgasme anal.
Une fois admis le potentiel orgasmique encore méconnu de cette zone, les préliminaires sont de mises. Si l’anus apprécie toutes les gammes de stimulations, il est recommandé de ne pas aller droit au but ! Une précaution qui devrait permettre de mieux partager la fascination masculine pour cette pratique avec leur partenaire.
(Source : www.doctissimo.fr)
Ce sont eux qui majoritairement la demandent ! Les femmes sont de plus en plus nombreuses à accéder à leur désir, s’y soumettant, y trouvant aussi du plaisir. Selon une enquête américaine1, elles étaient, en 1992, toutes tranches d’âge confondues, 33 % à avoir déjà pratiqué le sexe anal. En 2002, 35 % et en 2014, 46 %. Alors la question se pose : qu’est-ce qui suscite autant d’ardeur de la part des mâles, à pratiquer la sexualité anale ? Nous avons tenté d’y répondre.
Sodomie : le frisson du tabou
Vantée par la nouvelle littérature X destinée aux femmes, et banalisée par l’accès aux films porno via Internet, la sodomie semble être devenue incontournable. Pourtant, aujourd’hui encore elle s’entoure toujours de tabou, et "probablement que ce parfum d’interdit joue un rôle dans cette fascination qu’elle exerce sur les hommes", affirme le Dr Sylvain Mimoun, gynécologue, andrologue. D’où vient cette aura sulfureuse qui malgré tout persiste ? "C’est simple, la sodomie va à l’encontre de la procréation" répond notre expert. Du point de vue de l’inconscient collectif, elle reste une pratique, connotée "contre nature".
L’histoire de la sodomie en témoigne. Jusqu’au milieu du XXème siècle, elle est illégale dans la quasi-totalité des nations. "Encore aujourd’hui, certains états des Etats-Unis ont des lois la prohibant" ajoute le Dr Sylvain Mimoun. Tandis qu’en Inde, elle est réprimée. Dans les pays arabes, cette pratique coïncide avec l’exigence d’arriver vierge au mariage (pour en savoir plus sur ces particularités légales, découvrez notre diaporama sur les lois sexuelles plus insolites). Le sexe anal, à notre époque du porno chic, quoi qu’on en dise, occupe toujours une place de choix dans les pratiques transgressives.
Le sexe anal excite le fantasme masculin de la soumission
Deux ressorts peuvent sous tendre l’excitation que suscite cette pratique anale chez les hommes. La position tout d’abord qui évoque immanquablement la soumission de la femme, à cet homme qui la sodomise, par derrière, lui laissant la voie libre d’assumer ce désir, inhabituel. Dans une enquête conduite en 20072, les hommes confient être stimulés par la résistance féminine.
Or, si la sodomie emballe la machine à fantasmes masculine, il n’en va pas de même pour les femmes. Les chiffres sont éloquents. Parmi les 8,7 % qui reconnaissent la pratiquer 52,9 % affirment "ne pas apprécier". "Une position, qui d’autre part, place inévitablement l’homme dans le rôle du pénétrant" décode le Dr Sylvain Mimoun.
A la soumission de la femme s’ajoute le fantasme de toute puissance de celui-ci, à "forcer" ce passage plus étroit. En effet, cette pratique ne souffre aucune mollesse, et l’homme ne pourra s’y prêter qu’avec une "belle érection". Sinon impossible de s’y introduire. Cet acte lui permet alors de faire une démonstration de sa virilité. D’autant plus qu’il peut susciter chez lui, une certaine "brusquerie".
Orgasme anal : un plaisir plus intense ?
La sodomie s’entoure immanquablement d’une promesse d’orgasme inédit pour les hommes. Mais qu’en est-il vraiment ? "Sur le plan physique, les hommes confient éprouver un plaisir plutôt intense dû au fait de l’étroitesse du passage" rapporte le Dr Sylvain Mimoun. Dans le secret du cabinet, nombreux sont ceux qui avouent ne pas ressentir de pression suffisante autour de leur pénis pour obtenir un orgasme. Opter alors pour le sexe anal procure alors bien des avantages.
Par ailleurs, ces derniers peuvent être également stimulés par le plaisir que ressent leur partenaire, au-delà de ses réticences bien sûr. En effet, même s’il n’est pas courant de l’avouer, cette pratique peut procurer également aux femmes, une puissante jouissance. Une fois levées toutes les réticences qui y sont associées, bien sûr. Explications : toute la zone anale externe et interne, est fortement vascularisée et innervée. Ses terminaisons nerveuses "internes" captent de manière particulièrement sensible les sensations de pression et de distension… tandis que celles externes captent les frottements, et les changements de température. Ce qui signifie que l’anus est physiologiquement "très" apte à procurer un orgasme anal.
Une fois admis le potentiel orgasmique encore méconnu de cette zone, les préliminaires sont de mises. Si l’anus apprécie toutes les gammes de stimulations, il est recommandé de ne pas aller droit au but ! Une précaution qui devrait permettre de mieux partager la fascination masculine pour cette pratique avec leur partenaire.
(Source : www.doctissimo.fr)
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