Ces couples qui se disputent sans arrêt mais continuent de s'aimer
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16042013
Ces couples qui se disputent sans arrêt mais continuent de s'aimer
Toute la journée, il se chamaillent et n'ont pas de mots assez durs pour critiquer le comportement de leur moitié. Bref, ils ne font pas rêver. Pourtant, ils sont encore ensemble alors que les divorces se multiplient dans leur entourage. Quels sont les ressorts de ces duos ultra-conflictuels ? Notre analyse.
Un amour vache qui ne s'épanouit que dans la critique
Plus personne ne veut partir avec eux en vacances et on hésite même à les inviter à dîner. Il faut dire qu'ils n'ont pas leur pareil pour plomber l'ambiance... Devant leurs amis, familles et même leurs collègues, ils se balancent des missiles tellement énormes que l'on en est mal à l'aise pour eux. De Madame qui ricane parce que son homme parle à table de la scolarité de ses enfants "alors qu'il n'a jamais ouvert un cahier de correspondance de toute sa vie" à Monsieur qui se plaint tout haut de la fâcheuse tendance de sa chère et tendre à se plaindre de tout et n'importe quoi, en passant par leurs éternelles dissensions sur les tâches ménagères, la télé, leurs mères respectives, leur relation ressemble à une guerre de tranchées, où aucune trêve n'est jamais signée...
Loin des yeux, près du cœur
Ils cultivent néanmoins un étrange paradoxe : il suffit que l'un parte en séminaire ou en vacances en solo pour qu'immédiatement la flamme rejaillisse. Exit les noms d'oiseaux, le dénigrement perpétuel, place aux longues conversations téléphoniques où ils refont le monde , se jurent qu'ils vont faire des efforts chacun de leur côté et se réaffirment leurs sentiments. Alors qu'ils n'arrivent pas à vivre ensemble, il s'avère qu'ils ne sont capables, non plus, de se passer l'un de l'autre..
Flemme, masochisme ou preux sentiments ?
Une attitude pétrie de contradictions qui peut s'expliquer de diverses façons. Parfois, c'est effectivement la peur d'avoir à reconstruire un couple, le manque de confiance en soi qui font qu'on reste avec son partenaire et qu'on campe sur ses acquis, même si le quotidien est chaotique, voire douloureux. Dans d'autres situations, c'est véritablement l'amour qui motive ce choix, même si cet amour se vit sur le mode de l'agressivité et implique qu'on ait besoin pousser l'autre dans ses retranchements. Peut-être pour le tester, le faire fuir et mieux le voir revenir ensuite... L'assurance de vibrer, de ne jamais sombrer dans la routine.
Les vertus insoupçonnées de nos chamailleries
Si l'on en croit les spécialistes de la chose conjugale, les querelles que certains d'entre nous pratiquent avec assiduité ont aussi d'autres bienfaits. Ces bisbilles servent d'exutoire, permettent d' évacuer le ressentiment plutôt de le ruminer... Comme l'a si bien dit Jean de la Fontaine "la dispute est d'un grand secours. Sans elle, on dormirait toujours". Moralité : mieux vaut un couple qui se prend le bec qu'un couple qui se tait. Tant qu'il y a des escarmouches, c'est qu'il y a de l'espoir !
(Source : plurielles.fr)
Un amour vache qui ne s'épanouit que dans la critique
Plus personne ne veut partir avec eux en vacances et on hésite même à les inviter à dîner. Il faut dire qu'ils n'ont pas leur pareil pour plomber l'ambiance... Devant leurs amis, familles et même leurs collègues, ils se balancent des missiles tellement énormes que l'on en est mal à l'aise pour eux. De Madame qui ricane parce que son homme parle à table de la scolarité de ses enfants "alors qu'il n'a jamais ouvert un cahier de correspondance de toute sa vie" à Monsieur qui se plaint tout haut de la fâcheuse tendance de sa chère et tendre à se plaindre de tout et n'importe quoi, en passant par leurs éternelles dissensions sur les tâches ménagères, la télé, leurs mères respectives, leur relation ressemble à une guerre de tranchées, où aucune trêve n'est jamais signée...
Loin des yeux, près du cœur
Ils cultivent néanmoins un étrange paradoxe : il suffit que l'un parte en séminaire ou en vacances en solo pour qu'immédiatement la flamme rejaillisse. Exit les noms d'oiseaux, le dénigrement perpétuel, place aux longues conversations téléphoniques où ils refont le monde , se jurent qu'ils vont faire des efforts chacun de leur côté et se réaffirment leurs sentiments. Alors qu'ils n'arrivent pas à vivre ensemble, il s'avère qu'ils ne sont capables, non plus, de se passer l'un de l'autre..
Flemme, masochisme ou preux sentiments ?
Une attitude pétrie de contradictions qui peut s'expliquer de diverses façons. Parfois, c'est effectivement la peur d'avoir à reconstruire un couple, le manque de confiance en soi qui font qu'on reste avec son partenaire et qu'on campe sur ses acquis, même si le quotidien est chaotique, voire douloureux. Dans d'autres situations, c'est véritablement l'amour qui motive ce choix, même si cet amour se vit sur le mode de l'agressivité et implique qu'on ait besoin pousser l'autre dans ses retranchements. Peut-être pour le tester, le faire fuir et mieux le voir revenir ensuite... L'assurance de vibrer, de ne jamais sombrer dans la routine.
Les vertus insoupçonnées de nos chamailleries
Si l'on en croit les spécialistes de la chose conjugale, les querelles que certains d'entre nous pratiquent avec assiduité ont aussi d'autres bienfaits. Ces bisbilles servent d'exutoire, permettent d' évacuer le ressentiment plutôt de le ruminer... Comme l'a si bien dit Jean de la Fontaine "la dispute est d'un grand secours. Sans elle, on dormirait toujours". Moralité : mieux vaut un couple qui se prend le bec qu'un couple qui se tait. Tant qu'il y a des escarmouches, c'est qu'il y a de l'espoir !
(Source : plurielles.fr)
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